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Pour débattre :
A quelles conditions le ferroutage peut-il être une alternative au transport routier ?
Résumé :
Le bruit de roulement des trains dépend de l’état de surface des roues et des rails : plus les surfaces sont lisses et plus le bruit est faible.
Les roues : ce qui les rend rugueuses, ce sont les semelles de frein en fonte. La solution, c’est de remplacer les semelles en fonte par des semelles en matériau composite qui permettent de gagner 5 à 10 dB. Mais la transformation du parc français de 70000 wagons de fret pose de redoutables problèmes (Voir p 65)
Les rails : quand leur état de surface est dégradé, il faut les meuler, mais cela revient assez cher et l’opération est ... bruyante (p 66)
Enfin, on peut aussi protéger les habitations par des murs anti-bruit, des talus et...des double vitrages.
Texte intégral :
Messages
10 avril 2003, 18:18
article très interessant, mais il serait souhaitable de pouvoir comparer sur un graphique ou un tableau ad hoc le bruit d’un train de frêt et d’un transport routier d’un tonnage équivalent
avec au moins deux cas de figure :
moyenne selon réseaux et parcs actuels
et bruits minima en optimisant les techniques actuellement connues.
Il s’agirait bien évidemment de comparer des ordres de grandeur.
Il y a je crois, non seulement l’intensité du bruit, mais les fréquences qui ne sont pas les mêmes, les aigüs étant a priori moins supportables...
EB