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S’il est obligatoire, pour ne pas qu’il soit ressenti comme une corvée.
S’il est facultatif, pour qu’il attire un maximum de jeunes.
Dans les deux cas, le service civique ne peut réussir que s’il a une bonne image et que chacun y trouve son compte, les jeunes comme les bénéficiaires des services.
Communication, sensibilisation
(5/10/06) Campagnes de sensibilisation (Zahra CHEURFA, étudiante Paris IV, Le Monde)
(8/10/06) Créer un parcours citoyen permettant aux jeunes de découvrir des lieux d’émancipation citoyenne afin d’orienter leur choix (RECit)
(16/11/06) Proposer des stages d’été dans les associations et collectivités locales dès l’âge de 16 ans (Lionnel Luca, député UMP, La Vie)
Reconnaissance par la société
(6/11/06) Cibler tous les citoyens, pas seulement les jeunes. (Serjou)
Voir aussi Comment impliquer les autres générations ?
(16/11/06) Accès plus rapide à la nationalité française pour les étrangers qui le font (Razzye Hammadi, PS, La Vie)
Valorisation de l’expérience
(10/09/06) Valorisation dans le parcours de formation (Karl STOECKEL, président de l’Union Nationale Lycéenne, Le Monde)
(22/05/06) Possibilités d’ascension sociale (Frédéric BENHAIM)
Aménagement des modalités
(14/11/06) Réelles possibilités de choix de l’affectation (RECit)
(5/10/06) Intégrer le service civique dans le cursus universitaire (Marion PELATA, étudiante Paris IX, Le Monde)
(5/10/06) Fractionnement pour permettre de le faire pendant les vacances (mais pénalise ceux qui ont besoin de travailler) (Bruno Julliard, président UNEF, L’Express)
(6/11/06) Plage d’âge assez large (Serjou)
Avantages matériels
(23/11/05) Permis de conduire gratuit (Proposition de loi du PC)
(5/10/06) Rémunération attractive (Solène FOUILLADE étudiante Paris I, Le Monde)
(16/11/06) Droits à l’allocation autonomie, au contrat d’entrée dans la vie active, ou à la carte santé jeunes (Razzye Hammadi, PS, La Vie)
Autres
(22/05/06) Possibilités de découvrir le monde, de s’émanciper (Frédéric BENHAIM)
Messages
16 novembre 2006, 11:25, par Facilitateur
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article 38
12 décembre 2006, 17:05, par trivers
je suis d’accord avec la proposition suivante
Durée minimum obligatoire de 2 à 3 mois, que chaque jeune pourrait prolonger s’il le souhaite (Jean ALECIAN, Institut Montaigne, Le Monde)
Il s’agirait pendant ces deux mois de proposer aux jeunes une large palette de missions de service civique, y compris dans des associations volontaires, remplissant une mission d’intérêt général, et acceptant un certain droit de regard administratif du fait de la présence du jeune qui aura alors une rémunération modique certes mais non ridicule.
22 novembre 2006, 19:00
La proposition d’intégrer le service civique dans le cursus universitaire pose de nombreuses questions :
D’une part, pour avoir un diplôme, il ne suffit pas de passer des examens : encore faut-il les réussir. Dans le cas du service civique, à qui confierait-on l’évaluation ? Il y aurait des risques assez importants de dérapage.
Envisage-t-on sérieusement de donner un même diplôme, disons par exemple la licence, à un étudiant étranger qui aurait étudié 6 semestres en France et à un étudiant français qui n’aurait étudié que 5 semestres et accompli un service civique ?
Comment par ailleurs organiser les masters censés suivre la licence ?
Devraient-ils supposer que l’étudiant a les connaissance correspondant à six semestres de licence ou seulement à cinq semestres ?
Quelle crédibilité auraient les diplômes français incluant une part de service civique dans les universités étrangères ?
Je ne connais pas de pays où le service militaire ou civil soit "convertible" en diplôme universitaire : ni la Suisse, ni l’Allemagne, ni Israël, ni la Russie...
18 décembre 2006, 14:30, par arno
Je ne vois pas en quoi le service civique obligatoire devrait être "sexy".
Ni pour quoi il y a cette volonté qu’il y ait un grand nombre de personnes... du chiffre, du chiffre, toujours du chiffre.
On passe à côté de toute une intelligence pratique et politique que contient le service civique.
Si les conditions d’exercice du service civique sont pertinentes et vraiment intéressantes, alors il devrait ne pas y avoir souci.
Mais en cas d’obligation, l’intelligence n’est pas requise.
Mais je me pose une question faussement indépendante et néanmoins pregnante : qu’est ce qu’il va rester aux gens qui prennent des responsabilités dans une association, sachant les difficultés économiques et symboliques de celles-ci ?
19 janvier 2007, 11:18
Interrogé sur la rémunération très faible proposée par le PS pour le sco, Jean-Jeannot Queyranne répond que c’est une période très courte. Rappelons qu’il s’agit de survivre avec 1/3 du smic pendant 6 mois, ce qui nécessite quand même une certaine bravitude.
Bref, le PS n’a pas l’air de vouloir rendre le sco attractif, il espère juste que sa durée pas trop longue ne le rendra pas trop repoussant.
Voir en ligne : Forums du nouvelobs