"Certains font appel à la sobriété, la frugalité ou la simplicité volontaire".
Peut-on vivre éthique et crédible sans cela ?
Que pouvons nous faire dès maintenant pour mettre cela en pratique très concrétement ?
L’exercice d’un certain nombre de professions en soi "honorables" ne met-il pas dans l’impossibilité d’avoir le comportement sobre , simple et frugal en question ? Or exercer de telles professions ne s’avère-t-il pas une sorte de conditions pour avoir l’envie et le temps de participer à des échanges comme ceux-ci tant qu’on n’est pas retraité d’une activité qui elle-même n’a donc peut-être pas été "louable" ?
Quoiqu’il en soit la multiplication du choix des biscuits apéritifs et des apéritifs eux-même ne sont-ils pas un symbole parlant de notre société de dys-production, de dys-commercialisation et de dys-consommation ?
Comment pouvait-on être heureux en 1950 quand on ne buvait l’apéritif - toujours le même, sans choix entre dix sortes - que les Dimanches de fête, avec parfois des "apéricubes artisanaux"
Quelle attitude responsable adoptée vis à vis des salariés virés d’une entreprise en cours de délocalisation, produisant de l’inutile, du superflu et a fortiori du luxe ?
Cas précis : FLODOR et ses chips à Péronne dans la Somme
Changer mon mode de consommation n’entraîne-t-il pas du chômage ?
Evidemment que je suis personnellement pour puisque j’essaie de le vivre depuis un bail !
"Certains font appel à la sobriété, la frugalité ou la simplicité volontaire".
Peut-on vivre éthique et crédible sans cela ?
Que pouvons nous faire dès maintenant pour mettre cela en pratique très concrétement ?
L’exercice d’un certain nombre de professions en soi "honorables" ne met-il pas dans l’impossibilité d’avoir le comportement sobre , simple et frugal en question ? Or exercer de telles professions ne s’avère-t-il pas une sorte de conditions pour avoir l’envie et le temps de participer à des échanges comme ceux-ci tant qu’on n’est pas retraité d’une activité qui elle-même n’a donc peut-être pas été "louable" ?
Quoiqu’il en soit la multiplication du choix des biscuits apéritifs et des apéritifs eux-même ne sont-ils pas un symbole parlant de notre société de dys-production, de dys-commercialisation et de dys-consommation ?
Comment pouvait-on être heureux en 1950 quand on ne buvait l’apéritif - toujours le même, sans choix entre dix sortes - que les Dimanches de fête, avec parfois des "apéricubes artisanaux"
Quelle attitude responsable adoptée vis à vis des salariés virés d’une entreprise en cours de délocalisation, produisant de l’inutile, du superflu et a fortiori du luxe ?
Cas précis : FLODOR et ses chips à Péronne dans la Somme
Changer mon mode de consommation n’entraîne-t-il pas du chômage ?
Evidemment que je suis personnellement pour puisque j’essaie de le vivre depuis un bail !