> N’est-il pas trop tard ? Ne sommes nous pas condamnés à parier sur des percées technologiques ?
5 juin 2009, 15:45, par Olivier Lambeaux
A propos du message
12. Peut-on parier sur des percées technologiques ?
quand bien même la technologie permettrait d’extraire un peu mieux et un peu plus une source d’énergie fossile, il n’en reste pas moins qu’elle ne deviendra pas renouvelable.
Il serait intéressant de voire nos brillants économistes adeptes de la Terre Plate reconsidérer en 2009 leurs propos sur le Club de Rome tenus en 2004.
Oui il peut y avoir des innovations disruptives comme la maitrise du feu, mais il peut aussi y avoir des sauts ou plutôt des chutes... des innovations peuvent devenir destructives.
Tout ce que l’on peut dire, c’est que toute chose égale par ailleurs, on va dans le mur. Penser qu’une découverte va nous sauver, sauver la croissance, faire durer, c’est à classer dans la catégorie "croyance religieuse".
Il n’y a rien de délicat à gérer un arbitrage intergénérationnel en matière de politique énergétique, il suffit de s’autoriser un prélèvement sur les flux et pas sur les stocks.
A propos du message
12. Peut-on parier sur des percées technologiques ?
quand bien même la technologie permettrait d’extraire un peu mieux et un peu plus une source d’énergie fossile, il n’en reste pas moins qu’elle ne deviendra pas renouvelable.
Il serait intéressant de voire nos brillants économistes adeptes de la Terre Plate reconsidérer en 2009 leurs propos sur le Club de Rome tenus en 2004.
Oui il peut y avoir des innovations disruptives comme la maitrise du feu, mais il peut aussi y avoir des sauts ou plutôt des chutes... des innovations peuvent devenir destructives.
Tout ce que l’on peut dire, c’est que toute chose égale par ailleurs, on va dans le mur. Penser qu’une découverte va nous sauver, sauver la croissance, faire durer, c’est à classer dans la catégorie "croyance religieuse".
Il n’y a rien de délicat à gérer un arbitrage intergénérationnel en matière de politique énergétique, il suffit de s’autoriser un prélèvement sur les flux et pas sur les stocks.